UNIVERSITE
d'automne
du mouvement
des Réseaux
d'Echanges Réciproques de Savoirs ®
20-24 Octobre - Evry
Lettre aux futurs
participants à l’université d’automne des RERS
Bonjour,
Nous sommes contents de votre participation à l’université
d’automne, inter-réseaux Ecole de notre mouvement. Cela encourage bien celles
et ceux qui l’ont préparée.
Voici
quelques informations
1. D’abord, un changement de lieu. En raison de baisse importante des
subventions, FORESCO ne peut prendre le risque de la dépense entraînée par le
lieu « Lycée agricole de Saint-Germain en laye », même si les
conditions d’hébergement qui nous étaient proposées étaient très
intéressantes ! Nous resterons en lien avec ses responsables avec
l’espoir que vivre ensemble de tels moments dans ces conditions-là nous sera
possible à l’avenir.
Comme nous serons une
quarantaine, il nous est possible de faire cette université dans les locaux de l’IRFASE, un centre de formation d’éducateurs et
de travailleurs sociaux qui est juste au-dessus du siège du Mouvement, au 3 bis
Cours Blaise Pascal.
2. Restauration. Nous
sommes en train de chercher (ne vous inquiétez pas, nous avons de bonnes
pistes) les meilleurs conditions financières, de confort et d’accès.
Seule demande qui vous est
faite : apportez quelque chose pour un repas partagé le lundi soir dans les locaux du mouvement (FORESCO)
3. Hébergements. Nous allons chercher le plus grand nombre
possible d’hébergements chez « l’habitant », c’est-à-dire celles et
ceux d’entre nous qui participerons à cette semaine (appel leur est donc lancé de nous dire s’ils
peuvent accueillir) et appel aux participants du réseau
d’Evry-Centre-Essonne. Nous espérons pouvoir accueillir tous ceux qui le
souhaitent (n’hésitez pas à nous le
redire).
Si vous souhaitez un hébergement chez
l’habitant, merci d’apporter draps et serviettes.
Si vous préférez être à
l’hôtel, vous pouvez joindre l’Appart Hôtel Montempo en face de FORESCO
c’est 47€ la nuit, ou l’Hôtel Class’eco (à côté de la gare du Bras de Fer) 01 69 89
13 46
4. Pourriez-vous nous indiquer le jour (dimanche soir ou lundi
matin ?) de votre arrivée ?
5. Nous vous
invitons à apporter les listes d’offres et demandes de votre réseau (y
compris celles d’autres années) et peut-être même de réseaux
environnants) : nous ferons ensemble une analyse autour de ces questions
« Quels sont les savoirs offerts et demandés dans les réseaux ? Quelles
évolutions au cours de l’histoire du réseau ? Quels savoirs à faire
circuler davantage ?... »
6. Il y aura, comme vous
le voyez sur le programme, des temps d’échanges réciproques de savoirs entre
nous (en plus des temps de travaux sur les contenus proposés). Si vous pouvez
envisager des offres de savoirs et/ou des temps d’animation de soirée (donc
plutôt ludiques, artistiques, outils d’animation…), ne pas oublier d’apporter
le matériel nécessaire.
7. Nous vous adressons un
programme, à son verso le titre de livres des intervenants et quelques textes
de ceux-ci (intervenants extérieurs grâce auxquels (c’est la spécificité des
universités d’été ou d’automne), nous pouvons regarder et analyser nos
pratiques).
Au plaisir de cette semaine de réflexion ensemble
L’équipe de préparation :
Agnès Ballas, Pascal Chatagnon, Nicole Desgroppes, Claire Héber-Suffrin, Antonella
Liberti, Anne Murat, Jacqueline saint-Raymond, Michèle Schnitzler, Tina Steltzlen et des participants de la formation
d’animateurs de formation de juillet.
PS 1:
Si vous venez en transport, il faut à
Paris prendre le RER D, aux stations de Chatelet ou Gare de Lyon, direction Melun/Malesherbes
et vous arrêter à la gare d’Evry Courcouronnes Centre.
PS 2 :
Pour celles et ceux qui avaient déjà
envoyé un chèque de paiement pour l’université, ils n’ont pas été déposés et
vous seront restitués lors de l’université d’automne.
FORESCO (Formations Réciproques-Echanges de Savoirs-Créations
Collectives)
Mouvement français des Réseaux d'Echanges Réciproques de Savoirs
3 bis, cours Blaise Pascal 91000 Evry
Tél. 01 60 78 68 55 / 06 10 70 36 32 Courriel: foresco@orange.fr Site:http://www.rers-asso.org
PROGRAMME
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Lundi
La bonté et la bienveillance pour apprendre
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Mardi
Apprendre pour affronter les défis de société
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Mercredi
D’où viennent nos motivations ?
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Jeudi
Apprendre ?
Quels savoirs ?
La réciprocité
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Vendredi
L’évaluation réinterrogée par nos travaux
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8h
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Balades
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Réalisation d’une œuvre artistique avec Jipé
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Echanges de savoirs ou balades
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9H
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Présentation de la semaine. Tableau des tâches à
partager. Un temps festif d’un soir sera choisi
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Accueil réciproque. Annonce de l’agenda.
Intervention de Philippe Choulet.
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Accueil. En sous-groupes :
Les situations motivantes pour apprendre que nous
avons vécues ?
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Echos des trois journées. Les savoirs offerts et
demandés dans les RERS (territoires ou Ecoles) Quels savoirs faire circuler
dans nos réseaux
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L’évaluation : partager nos expériences, nos
pratiques, nos outils, nos conceptions
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Pause
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Pause
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Pause
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Pause
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Pause au gré des groupes
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Groupes de travail sur la bonté et la bienveillance
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Travaux de groupes sur les transmissions entre pairs
dans nos réseaux ville, campagne ou école. Mise en commun avec P. Choulet.
Mise en commun
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Intervention de Bernard Liétard (sources des
motivations à se former) Travaux de groupes pour appropriation.
Retour vers l’intervenant
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Intervention de Zina Ouaglal :
La
résultante de la réciprocité sur ceux qui la pratiquent
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En quoi nos expériences sont-elles réinterrogées par
les apports des quatre journées. Préparation d’une retransmission originale
au grand groupe.
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12h30
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Repas
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repas
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Repas décalé à 13h30
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Repas
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Repas
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Intervention de Jacques Lecomte
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Intervention de Patrick Viveret Devant quels défis
sommes-nous ? Vivre à la bonne heure ?
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Echanges informels ou visite d’Evry – balades –
Visite de Soisy-sur-Ecole – Vaux le Vicomte, ou ?
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Intervention et animation d’André Giordan :
Apprendre, c’est quoi ?
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Café gourmand autour de l’évaluation de la
semaine : des outils seront proposés
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Pause
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Pause
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Pause
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Pause
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Travaux d’appropriation et projections par groupes
de groupes
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Travaux de groupes : en quoi cela
questionne-t-il nos pratiques ? débat avec Patrick Viveret
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Suite : De quels savoirs avons-nous
« besoin » ? Retours réflexifs sur des parcours.
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Outils pour évaluer coopérativement et
personnellement la semaine ensemble
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18h
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Temps pour échanges de savoirs
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Temps pour échanges de savoirs, détente, balade,
temps libre…
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Temps pour échanges de savoirs, détente, balade,
temps libre…
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Temps pour échanges de savoirs, détente, balade,
temps libre…
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Rangements « ensemble »
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20h
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Repas partagé
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Réalisation d’une œuvre collective artistique avec
Jipé
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Réalisation d’une œuvre collective artistique avec
Jipé
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Fête ?
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Commencer à
découvrir les intervenants :
Les médias nous inondent d’informations négatives
sur l’être humain. Certes, la violence existe, mais elle ne doit pas nous faire
oublier les autres facettes de la vie humaine. Ma façon d’aborder l’existence
repose sur une certaine conception de l’être humain, appuyée sur de multiples
connaissances en sciences humaines, et que je qualifie d’optiréalisme. La
synthèse de ces recherches est le sujet de l’ouvrage La bonté humaine que
j’ai publié en 2012.
Cet ouvrage est divisé en deux parties.
La première partie présente ce fait : la bonté
s’exprime dans des situations où l’on s’attendrait bien plus à la violence et à
l’égoïsme. Chaque chapitre de cette partie associe des résultats de recherches
scientifiques (surtout issues de la psychologie sociale, de la sociologie, de
la criminologie et de l’histoire) avec des histoires de vie.
La seconde partie s’efforce de comprendre les
racines profondes de cette aptitude à la bonté chez l’être humain, au travers
de connaissances en préhistoire et primatologie, en anthropologie, en
psychologie du bébé et du jeune enfant, en neurobiologie et en économie
expérimentale. Cette partie a donc pour objectif de poser quelques fondements
majeurs sur lesquels il est possible de construire une conception à la fois
optimiste et réaliste de l’être humain. Cette approche optiréaliste, qui nous
permet d’agir pour un monde meilleur, est parfaitement résumée dans ces
déclarations de Nelson Mandela et de Martin Luther King :
« J’ai toujours su qu’au plus profond du cœur
de l’homme résidaient la miséricorde et la générosité. Personne ne naît en
haïssant une autre personne à cause de la couleur de sa peau, ou de son passé,
ou de sa religion. Les gens doivent apprendre à haïr, et s’ils peuvent
apprendre à haïr, on peut leur enseigner aussi à aimer, car l’amour naît plus
naturellement dans le cœur de l’homme que son contraire. Même aux pires moments
de la prison, quand mes camarades et moi étions à bout, j’ai toujours aperçu
une lueur d’humanité chez un des gardiens, pendant une seconde peut-être, mais
cela suffisait à me rassurer et à me permettre de continuer. La bonté de
l’homme est une flamme qu’on peut cacher mais qu’on ne peut jamais
éteindre. » (N. Mandela)
« Il y a un extraordinaire potentiel de bonté
dans la nature humaine. Il y a quelque chose dans la nature humaine qui peut
répondre à la bonté. Je sais bien que l’on risque de dire qu’il est irréaliste
de croire que tous les individus sont bons. Eh bien, je n’ai pas dit cela. (…)
L’homme n’est ni bon de façon innée, ni mauvais de façon innée ; il a des
potentialités pour les deux. (…) C’est pour cela qu’un Jésus de Nazareth ou un
Mohandas Gandhi peut faire appel aux êtres humains et à cet élément de bonté en
eux, et qu’un Hitler peut faire appel à l’élément de mal en eux. Mais nous ne
devons jamais oublier qu’il y a quelque chose dans la nature humaine qui peut
répondre à la bonté. » (M. L. King)
Philippe Choulet. De la transmission horizontale du savoir.
[…] Une transmission
horizontale du savoir est celle qui lie et associe deux personnes égales, sans
considération de hiérarchie autre que celle du savoir (donc sans hiérarchie
institutionnelle) — par exemple la transmission du savoir d’un collègue
“savant”, compétent, expert, à un collègue ignorant, incompétent,
inexpérimenté. C’est en cela qu’elle concerne éminemment le travail social.
[…] Une transmission
horizontale du savoir diffère de la transmission verticale. Cette dernière,
toujours défective (elle ne va que dans un seul sens), peut prendre des formes
heureuses, fécondes — ce sont les formes magistrales (celle de l’instituteur,
du Professeur, du magister qui
maîtrise à la fois un savoir et la transmission de celui-ci, pour éduquer,
former, instruire ses élèves ou ses disciples, pour les aider à accoucher de
leur savoir intime et caché (la maïeutique socratique (Cf. Platon, Ménon, Théétète.), mais elle peut prendre des formes tristes, stériles (enfin, pas pour tout le
monde !), arbitraires, ultra violentes, tyranniques, celles de la
domination du despotès / dominus. A chaque fois, la verticalité
implique une hiérarchie, légitime, fondée ou non, juste ou non — quelqu’un
sait, quelqu’un parle, l’autre apprend… ou pas (car la parole peut être
mensonge, dissimulation, ruse maléfique, tromperie, sophistique, stratégie de
domination). L’intérêt d’une transmission horizontale du savoir est 1° qu’elle
exclut absolument la forme violente de la transmission (le maître comme dominus) ; 2° qu’elle met d’emblée
entre parenthèses la transmission magistrale (parler à autrui, l’instruire,
l’initier, le former, ce n’est pas nécessairement “faire cours”, monter en
chaire ou pérorer avec suffisance et emphase ! On n’est pas à l’école, à
l’université ou en train de faire des conférences…). Elle part en effet du
présupposé que le savoir peut circuler de manière transparente entre deux
sujets certes inégaux quant au savoir, mais égaux en droit de savoir. Elle
s’appuie sur une thèse non aperçue : nous sommes inégaux quant au savoir
dont nous disposons, nous sommes différents quant à ce savoir, mais nous sommes
égaux en ignorance, puisque nous sommes placés devant l’infini des choses à
avoir… La définition horizontale de la transmission rend modeste (la modestie
est un sentiment de la contingence et de la fragilité des choses, et une
passion qui accompagne nécessairement la générosité). La vanité, passion
imbécile de la supériorité creuse, est exclue du jeu.
[…] Cette transmission
horizontale du savoir entre égaux est un bon signe de l’humanisme qui court au
sein du travail social. Nous retrouvons ici de nouveau l’idée d’un horizon (au
second sens du terme) : le savoir à partager est infini, car sans cesse
(ré)inventé par la praxis des hommes (science, technique, arts, travail,
institutions, morale…) ; la transmission entre humains de bonne volonté
(volonté de parole, volonté d’écoute, volonté d’apprendre) est donc également
infinie. Mais cet infini, comme tout horizon, recule au fur et à mesure que
l’on avance… […] Il ne s’agit pas seulement d’offrir des puits de vérité aux
humains, il faut leur apprendre à les creuser eux-mêmes, et leur montrer, leur
indiquer comment on s’y prend.
Patrick Viveret
Bernard Liétard. Prise de note à partir de son intervention pendant la
formation d’animateurs de formation de juillet 2013.
« Il faut toujours
penser en termes d'acteur et de système. Dans les institutions, on peut trouver
sa place dans les interstices. Les institutions sont beaucoup moins
machiavéliques qu'on le croit. Il y a des marges de manœuvre. Moi-même j'ai la
chance d'être fonctionnaire et citoyen. » A une formation
psychosociologie. Prof au CNAM. A largement contribué à la politique de
validation des acquis professionnels depuis 1984. Ce qui à l'époque était
déviant, négligé, est devenu aujourd'hui un fait social. Le bilan de compétence
est très encadré par le droit y compris
pénal. Chacun en a la propriété individuelle exclusive.
Objectif : que chacun se
mette dans une démarche de portefeuille de compétences, c’est-à-dire quand
j'apprends quelque chose, j'essaie d'en garder des traces, dans la perspective
de transmettre quelque chose.
Son parcours
professionnel a été marqué par plusieurs éléments :
Connaître le système pour
trouver sa place
Aider les gens à
développer leurs compétences
Méthodologie de projet,
perso et professionnel
Réconcilier psychologie
et sociologie (vue d’une manière concrète)
Déterminant sociaux /
comprendre son environnement facilite
VAE : voie de
qualification à part entière
Reconnaissance dans la
politique française et internationale
Est reconnu tout ce qui
peut être acquis hors système de formation / Formation projet professionnel
Mettre en place
portefeuille qui nous ressemble : reflète la personnalité des gens
« personnel » en quoi ça reflète la personne
Chaînes
des motivations
Ni briseurs de rêves, ni
pelleteurs de nuages
Expectation : confiance en soi pour se lancer
Instrumentalité : ça va me servir
Valence : rapport coût/apprentissage
Montée des projets : Qu’est que vous rêver de faire? Exploration /cristallisation
/spécification (choix) / réalisation
« Principe de
valeur »….
Zina Ouaglal L'accompagnement scolaire: vers une éducation
sociale réussie ?
Projet de thèse en Sciences de l'éducation Sous la direction de Hervé Cellier.
Thèse en préparation à Paris 10 depuis le 12-02-2008.
Une première partie de mon travail de
recherche portera sur ces phases de construction historico-sociale de
structures permettant l'existence de ce que généralement on appelle
l'accompagnement scolaire en france. en écho à cette première fondation, il
sera intéressant pour notre recherche de voir comment le système éducatif
algérien s'est développé depuis 1962 à nos jours et comment précisément il a répondu
concernant ce type de dispositif (notamment par la création, le développement
des associations porteuses d'actions éducatives). autrement dit que l'<<
éducation >> en (à la) périphérie soit ou non instituée, est un facteur
déterminant de ma recherche : ce qui me pose question c'est bien l'engagement
pris par des individus (constat intergénérationnel) dans la vie d'autres
individus au travers des temps qu'il partagent, qu'ils donnent et dans lesquels
ils n'échangent pas uniquement des savoirs formels /...
André
Giordan
André
Giordan, né en 1946 à Nice est un agrégé de biologie, spécialiste de la physiologie
des régulations et de la didactique et de l’épistémologie des sciences.
Ancien
instituteur, professeur de collège et lycée, animateur de club de jeunes, il a
été Professeur à l'université de Genève où il a dirigé le Laboratoire de
didactique et épistémologie des sciences (LDES).
Il a
développé un ensemble de travaux sur l’élaboration et l'appropriation des
savoirs scientifique, technique et médical.
Il est
surtout connu pour son nouveau modèle de l’apprendre, le modèle allostérique (allosteric
learning model) et pour sa démarche physionique qui renouvelle les idées en
matière « d’entreprises apprenantes ».
Projets en
éducation
Depuis 1969,
sensible aux problèmes écologiques, il développe des projets d’éducation à
l’environnement. Il est contacté pour représenter la France à la première
Conférence sur l’éducation à l’Environnement à Belgrade (1975). Il est invité
par l'UNESCO3 à organiser la Conférence d’Helsinki, puis la Conférence
intergouvernementale de Tbilissi (1977). L’UNESCO lui confie ensuite la
direction du premier projet pilote international sur l’éducation relative à
l’environnement, axe de recherche du premier programme de l’UNESCO et du PNUE (Programme
des Nations Unies sur l’environnement).
Pour lui, l’éducation
ne se pose pas en termes d’enseignement mais d’apprentissage, ni en termes de
disciplines compartimentées mais en système global soumis à de multiples
interférences, une sorte de paradigme regroupant toutes les sciences naturelles
et des branches des sciences humaines. Ses travaux ont pour point commun de
décoder les processus d’élaboration du savoir, regroupés autour de trois
paramètres interdépendants :
1. L’apprenant et l’importance de ses
conceptions,
2. Le savoir par le prisme du projet
éducatif ou culturel,
3. Le contexte institutionnel.
Modèle
allostérique
Il
développe par la suite un nouveau modèle d’apprentissage qu’il appelle «
allostérique»4 (allosteric Learning model), fondé sur le « comprendre », le «
mémoriser » et le « mobiliser le savoir » en interaction. Ce modèle dépasse les
modèles constructivistes admis en mettant l’accent sur les idées de
déconstruction, de recyclage et d’élaboration « avec » les conceptions de l’apprenant
pour faire « contre ». Son environnement didactique systémique fournit des
outils et des ressources pour les enseignants et les médiateurs. Il est repris
actuellement avec succès par les soignants et les entreprises apprenantes.
Des ouvrages et les
sites des intervenants extérieurs
Jacques Lecomte
« La Bonté humaine »,
Odile Jacob, 2012.
Donner un sens à sa vie, Odile Jacob, 2007.
Philippe Choulet
www.laviedesidees.fr/_Choulet-Philippe_.html
Philippe Choulet et Ph.
Rivière, La bonne École, I. Penser
l'École dans la civilisation industrielle, Champ Vallon, septembre
2000.
Philippe Choulet et Ph. Rivière, La bonne Ecole, II. Institution scolaire et contenus de savoir dans la civilisation
industrielle, Champ vallon, 2004.
Patrick Viveret
fr.wikipedia.org/wiki/Patrick_Viveret
La cause humaine, Liens
qui libèrent, Vivre à la bonne heure,
Presses d’Île de France
Bernard Liétard
Zina Ouaglal
http://www.theses.fr/s52616
André Giordan
andregiordan.com
Apprendre ! (23 décembre 1998),
Belin