mercredi 29 janvier 2014

UN ECHANGE GYMNASTIQUE/REMISE EN FORME A L'ANTENNE DES PYRAMIDES.

Un groupe de femmes du quartier s'est organisé pour se soutenir à faire du sport en groupe:


  • un rendez-vous régulier : le mardi 
       de 18h 30 à 19 h : jogging au stade Jean Moulin        
       de 19 h à 20 h : entraînement en salle (à l'antenne des Réseaux) avec un coach
         étirements en fin de séance.

  • une option supplémentaire le dimanche : jogging de 7 km dans la bonne humeur.
 Ce sont des mamans, et des jeunes  ....qui vont également proposer leurs offres et demandes 

Pour vous inscrire, merci de prendre contact avec l'antenne 01 69 36 25 14





mercredi 22 janvier 2014

Des nouvelles du jardin en partage

Le site
Bon à savoir : 

La création du jardin est collective. Cela demande une certaine discipline, le jardin en partage n'étant pas un espace privé mais dédié au public.


Les décisions sont prises en "Conseil de jardin" qui se réunit tous les premiers lundis de chaque mois (hors vacances scolaires) à 20h au local RERS du centre ville.

Les échanges de graines, de conseils axés sur la nature, le jardinage, l'écologie se poursuivent au fil de nos rencontres.



Compost
Les haricots verts en juin












Les échanges de cuisine avec les produits du jardin permettent de faire émerger des demandes de savoirs.


Récolte de carottes


Plants de poireaux et de betteraves











Le jardin peut être le lieu ou le support d'activités artistiques telles que photos, herbiers, dessins de plantes, croquis sur le vif, compositions à partir d'éléments naturels... 


Le jardin en septembre



Tous les visiteurs sont accueillis sur rendez-vous (classes, centres de loisirs...) ou sans rendez-vous pendant les moments de jardinage. 
Vous êtes sûrs de trouver quelqu'un le dimanche matin de 10h 30 à 12h.

mardi 21 janvier 2014

Les RERS et la réussite éducative et citoyenne


Marc nous a parlé du CAPE. Après des échanges dans la Commission Communication, on a trouvé que c'était bien et on a eu envie de vous le dire :


Les Rérs se sont créés autour d'une classe et se sont organisés en territoire apprenant (entre 1970 et 1976 à Orly, plus de 500 personnes étaient en échanges autour des démarches d'apprentissage de tous et surtout des collégien-ne-s et des élèves de l'école élémentaire). Et de nos jours, sur le territoire national, de nombreuses associations se soucient de la Réussite Éducative de tous les enfants, de tous les jeunes, et de leur réussite humaine et de leur réussite professionnelle.

Dans les Rérs chacun apporte sa contribution à ces réussites éducatives qu'il faut choisir de vouloir, qu'il faut entreprendre d'organiser dans un mouvement, pour toutes les personnes et au bénéfice de toutes les personnes. L'Éducation Populaire existe à partir de tout un chacun, au bénéfice de tout un chacun, et passe par tout un chacun.

Dans cette volonté de défendre l'intérêt de l'enfant, participer au Collectif des Associations Partenaires de l’École publique (CAPE), c'est affirmer que tous les échangeurs de savoirs des Rérs sont contributeurs de la réussite éducative et citoyenne de tous les membres d'un territoire, d'un quartier, par la recherche de partenariats locaux, concrets, reliés et rationnels avec tous les autres membres de ce collectif quand ils sont présents sur le territoire, comme tel ou tel Rérs de notre mouvement.

Notre force de cohérence contribue à la force des actions (formation, construction de partenariat, coopération sur un territoire) de ce collectif.


Site internet du CAPE : www.collectif-cape.fr


Pour ceux qui veulent jouer, une énigme : Casse-tête en 8 lettres ?

 


lundi 20 janvier 2014

Mise en forme le dimanche matin

avec Michèle
Son reportage sur le premier échange, dimanche 19 janvier 

Amis sportifs (ou pas), bonjour !
Voilà, nous l’avons fait. Pour ce 1er rendez-vous autour du Lac de Ris, tout le monde est venu. Du moins, tous ceux (enfin…celui) et celles qui m’avaient répondu « ok », étaient là, à 10h comme prévu : Lise, Maud (et son mari), Nathalie, Nicole, Charles et moi.
Le soleil, que j’avais invité lui aussi, nous a fait grise mine… mais la pluie (annoncée par Mme Météo) ne s’est pas imposée ; c’était déjà plus que j’espérais !


1ère photo avant départ (Lise n’y est pas, elle est arrivée juste après que j’aie rangé l’appareil), quand tout le monde est encore frais et souriant et nous voilà partis, certains courant, les autres marchant. Nathalie et Maud m’avaient bien prévenue : 
« oh non, moi, je ne cours pas ! ».

Après ½ tour de lac, arrêt et regroupement sur un ponton où, sous la houlette de Charles, nous effectuons quelques mouvements d’assouplissement et de respiration. 


Et on repart. Juste avant de boucler un 2ème tour avec Nicole, nous retrouvons Maud, Nathalie et Charles qui avaient fait un détour. Tandis que je repars au petit trot, oh merveilleuse surprise, je m’aperçois que (le sol s’y prêtant puisque légèrement en pente descendante) Nathalie et Maud m’ont emboîté la foulée… mais, même lorsque la pente s’est inversée, les deux sœurs ne se sont pas arrêtées de trottiner derrière moi. Nous avons fait 1 tour 1/3, ensemble, sans un seul arrêt ! Bravo à toutes les 2. Pour un début, c’est très prometteur et j’espère qu’elles feront 2 tours non-stop d’ici peu. 



Nous sommes enfin retournés jusqu’au ponton et je suis allée chercher mon appareil pour une dernière séance photos où, comme chacun peut le constater, tout le monde sourit encore. 


Alors, vous qui croyez être incapable de courir, demandez à Maud et Nathalie ce qu’elles en pensent !
Nous avons rendez-vous dimanche prochain, même lieu, même heure et, si ça vous dit de nous rejoindre, bienvenue au club !
Michèle    


vendredi 17 janvier 2014

Deux samedis matin à Ris

Voici quelques photos prises un samedi matin de novembre dernier, où j’étais passée au Moulin après le marché, pour dire bonjour à Jacqueline qui y faisait l’accueil.
Le soleil entrait à flots et six autres membres du réseau en profitaient ce jour-là derrière les grandes baies vitrées. Tous échangeaient avec bonheur et application.
Jacqueline, au centre conversait avec Christine. Je n’ai malheureusement pas pris de photo d’elles mais on les aperçoit derrière Michèle et Dominique assis chacun à un guéridon. Quand elle ne lève pas le nez pour sourire à la photographe, Michèle écoute attentivement les consignes de Dominique afin d’écrire un des textes que vous avez déjà pu lire  ou que vous lirez dans ce blog. C’est l’atelier d’écriture. J’y ai assisté trois fois, c’est passionnant. Dominique y a déjà accueilli jusqu’à huit participants.

De l’autre côté de la pièce, bien installée devant une grande table, Lyne armée d’un mètre en bois donnait ses instructions à Maud et Lise pour découper leur tissu en suivant un patron en vue de la confection d’une jupe.


C’est l’atelier de couture et le nombre de demandeurs est limité à deux à cause de l’espace nécessaire pour étaler le tissu. Il est prévu que prochainement, Marlène en offre un elle aussi, également pour confectionner une jupe. Avis aux amatrices ! Réjane


Un autre samedi, en décembre.
Annick, des Pyramides (en vert) et Blandine, stagiaire au Réseau (à sa droite) sont venues rencontrer des participants de Ris, dans le cadre d’une réflexion préparatoire à une journée « Socle ».
Objectifs : faire un diagnostic de la situation, écouter les difficultés, formuler le sens de notre projet sur tout le Réseau de l’agglomération

Huit personnes ont accepté de répondre à une série de questions :
1. Qu'est-ce qui te donne envie d'être en échange ?
2. En quoi est-ce différent d'un cours ?
3. Es-tu offreur ? Es-tu demandeur ?
4. Est-ce que tu acceptes qu'on t'offre un savoir ?
5. Est-ce que tu acceptes de donner un savoir gratuitement ?
6. Pourquoi donner de son temps au RERS ?
7. Pourquoi es-tu venu-e au Réseau ?
8. Trouves-tu normal que tous les savoirs se valent ?
9. Est-ce que tu es mal à l'aise si tu reçois trop et/ou donnes trop ?
10. Comment participes-tu à la vie du Réseau ?
11. Te sens-tu entendu ?
12. Que fais-tu pour ?
13. Qu'est-ce qui t'inciterait à participer, et à faire participer d'autres personnes, à la vie du Réseau ?
14. Que penses-tu de ce que l'on ''fabrique'' ensemble ?
15. Te reconnais-tu dans « l'éducation populaire » ?
16. Quand serais-tu disponible pour travailler ensemble sur notre projet ? Quels sont les freins éventuels à ta participation ?

Toutes les réponses furent intéressantes, surtout lorsqu’elles révélèrent des points de vue fort divergents et donnèrent lieu à un débat animé.    Jacqueline

mercredi 15 janvier 2014

Zoom sur un échange à l'antenne de Courcouronnes: l'informatique, comment créer une boîte mail ?

Tous les mois, le blog vous proposera de lire un article sur un échange en cours dans l'antenne de Courcouronnes. Ce mois-ci, nous vous présentons l'échange informatique.

Claude anime un échange informatique tous les lundis après-midi de 14 h à 16 h. 
Mustapha, demande au début de la séance à apprendre à créer une boîte mail sur Internet.
Mustapha va sur la page de Gmail™, puis clique sur "créer un compte". Après cette étape, il remplit le formulaire d'inscription, lors de cette étape, Claude intervient et nous donne quelques conseils, par exemple :  donner le moins d'information possible sur nous-même. Le mot de passe est également très important, il faut choisir un mot de passe de bon niveau pour ne pas que des inconnus mal intentionnés puissent le retrouver.
Après avoir rempli le formulaire d'inscription, la boîte mail de Mustapha est enfin conçue, il décide d'envoyer un e-mail à sa fille.

dimanche 12 janvier 2014

La malédiction de naître fille



Ce que j'ai appris de plus "énaurme" en 2013 ! par M. H-S :

Article de Macha Séry (Le  Monde Dimanche 6 et Lundi 7 octobre 2013)

Ce devrait être une scène de liesse, un moment de bonheur, la mise au monde d’un enfant. Dans une clinique de la banlieue de Delhi en Inde, une femme accouche, et c'est la consternation : le nourrisson est une fille. Le visage de la jeune mère se ferme. « C'est dans la nature humaine de préférer les garçons, explique la sage-femme. Ce n'est pas comme ça chez vous ?››
Dans La Malédiction de naître fille, un documentaire récompensé, en 2006 par le prix Albert-Londres, Manon Loizeau et Alexis Marant ont enquêté sur une hémorragie d'un nouveau genre, une discrimination si violente qu'elle conduit à une sélection non naturelle, pis, au meurtre. Aujourd'hui, cent millions de femmes manqueraient en Asie, faute d'être nées ou pour avoir été tuées à la naissance. L`infanticide s'opère dans le secret des foyers, dicté par la misère, les croyances religieuses et la misogynie. Dans le sud de l'Inde, une femme qui ne condamne pas sa fille à mourir est bannie de la communauté villageoise. C'est ce drame que décrit ce film sur les « disparues », qui seront peut-être deux cents millions d'ici vingt-cinq ans, selon des projections alarmantes de l'ONU et de l'UNICEF.

DOULEURS ENFOUIES
En cinq semaines de tournage - trois en Inde, une au Pakistan et une en Chine -, les auteurs ont relevé cette gageure : filmer l'invisible. Afin de rendre palpable ce phénomène massif des «missing women ››. Les deux journalistes sont passés dans des dizaines de villages peuplés majoritairement de garçons et d'hommes. Comme si, sur la photo de famille, les filles avaient été exclues. Il a fallu un long travail d'approche, avec l'aide d'interprètes et d'ONG spécialisées, pour que les femmes acceptent de se confier. La difficulté étant de faire surgir les douleurs enfouies. Comme celle de cette mère de deux filles qui raconte la façon dont elle a empoisonné, avec du jus de tabac, sa troisième, née il y a dix ans. L’astrologue de son village avait dit que son mari mourrait si le bébé restait en vie.
En Inde, cette pratique interdite depuis 1960 continue de prospérer sur le terreau des superstitions et des traditions hindouistes. Cette attitude de rejet est aggravée par la persistance du système de dot, tandis qu'en Chine, pays de l'enfant unique, le garçon est le seul héritier des biens. A défaut, ceux-ci reviennent au cousin.
Bien que condamnée par la religion musulmane, la pratique d'élimination des petites filles s'est intensifiée au Pakistan avec la paupérisation. En vingt ans, la Fondation Edhi a retrouvé, dans les fossés et décharges des villes, quantité de cadavres de nourrissons et recueilli 30 000 fillettes abandonnées. Comme cette gamine d'un an, découverte affamée, un soir, dans le buisson d'un parc. Une des séquences les plus dramatiques de ce documentaire, qui livre des chiffres accablants, car la sélection s'accroît par l'accès généralisé aux échographies. 80 % des six millions d'avortements pratiqués en Inde chaque année seraient motivés par des grossesses de filles, un marché très lucratif pour les médecins.

DOCUMENTAIRE : La malédiction de naître fille  de Manon Loizeau et Alexis Marant (France. 2006, 52 min).

Compléments (par JG)
Ce documentaire est disponible en visionnage gratuit sur dailymotion http://www.dailymotion.com/video/xjrz3_un-genocide-silencieux_news
Ou en téléchargement payant :
http://boutique.arte.tv/f1331-maledictiondenaitrefille

Articles 
en français http://labcitoyen.maisondesculturesdumonde.org/la-malediction-de-naitre-fille-en-inde/
en anglais http://vedicviews-worldnews.blogspot.fr/2011/05/millions-of-indian-baby-girls-aborted.html



mercredi 8 janvier 2014

Bien commencer l'année

Excellente année à tous !



Faire des échanges tout seul ? Ça n'existe pas.
Faire un réseau dans son coin ? Ça n'existe pas.
Pour se sentir en lien avec d'autres, la bonne volonté est nécessaire : c'est un bien qui se renforce quand on s'en sert. Tout bénévole qui se joint au réseau est bien venu.
Bonne volonté, bon chemin dans l'échange !

La vie associative a besoin de bras.
La vie associative a besoin d'acteurs militants.
A Évry, le Réseau d’Échanges Réciproques de Savoirs a besoin de tes bras. Le RERS ne peut vivre sans ton civisme.
Et ça veut dire quoi ?
Ça veut dire que l'association a besoin de toi, de tes savoirs, pour les échanges réciproques de savoirs mais aussi :
  • pour les "mises en relation"
  • pour la commission communication
  • pour la vie de son Conseil d'Administration
  • pour ...
Tu as des choses à dire, tu as envie de faciliter la communication entre les "échangeurs de savoirs" de notre réseau, viens rejoindre la commission communication.
Elle se réunit le 1er mercredi de chaque mois de 14h à 16h au local du centre-ville.
Nous avons un axe prioritaire pour cette année : faire vivre notre blogue.
Nous avons besoin de toi.

Voilà un mois et demi que je fais partie des RERS en tant que stagiaire. J'ai pu voir différents échanges entre les personnes, notamment une réunion "comm_comm".
Vous direz : qu'est-ce que c'est ? C'est la commission communication. Quel gros mot ! mais en fait c'est un temps pour échanger, discuter sur la vie du RERS. Venez nous rejoindre lors de ces regroupements pour que la parole continue de tourner.

La commission communication